C’est vainement, Fréron, qu’en tes sages écrits
Dévouant nos cotins à de justes mépris,
Tu prétens, du bon goût retarder la ruine ;
C’en est fait : sur ces bords, où le vice domine,
Plus puissante, renaît l’hydre des sots...
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Un Ecrit clandestin n’est pas d’un honnête homme, NE prétends plus, Fréron, par tes savants efforts $ |
(Fragments) |