Pendant toute la nuit les guerriers, inquiets,
Auprès de leurs grands feux, sous les sombres forêts,
Déplorèrent des chefs l’absence prolongée.
Leur âme dans l’angoisse était encor plongée
Quand le soleil monta radieux au levant,
Et que d’étranges bruits passèrent dans le vent.
Ils courent au rivage en hurlant de colère.
Deux navires berçaient...