Je sais, quand le midi leur fait désirer l'ombre,
Entrer à pas muets sous le roc frais et sombre,
D'où parmi le cresson et l'humide gravier
La naïade se fraye un oblique sentier.
Là j'épie à loisir la nymphe blanche et nue
Sur un banc de gazon mollement étendue,...
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L'aube, l'ombre, le soir, l'espace et les étoiles ; |
L'ombre est lustrale et l'aurore irisée. |
Il n'est que l'ombre de la treille |