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    Tantôt plats et stagnants comme des étangs morts,
    On les voit s'étaler en flocons immobiles
    Ou ramper dans l’azur ainsi que des remords ;
    Tantôt comme un troupeau fuyard de bêtes viles,
    Ils courent sur les bois, les ravins et les villes ;
    Et l’arbre extasié tout près de s’assoupir,
    Et les toits exhalant leur vaporeux soupir
    Qui les rejoint dans...