•  

    Donc, ta voix de bronze est éteinte:
    Te voilà muet à jamais !
    L’heure plus ne vibre ou ne tinte
    Dans la grand’salle que j’aimais,

    Où je venais, après l’étude,
    Fumer le soir, rythmant des vers,
    Où l’abri du monde pervers
    Éternisant ma solitude.

    Sur le buffet aux tons noircis
    De chêne très ancien, ton ombre
    Lamente-t-elle,...