• Je contemplais un jour le dormant de ce fleuve
    Qui traîne lentement les ondes dans la mer,
    Sans que les Aquilons le fassent écumer
    Ni bondir, ravageur, sur les bords qu'il abreuve.

    Et contemplant le cours de ces maux que j'épreuve,
    Ce fleuve, dis-je alors, ne sait que c'est d'aimer ;
    Si quelque flamme eût pu ses glaces allumer,
    Il trouverait l'amour...