DANS le vol tremblant de l’heure
Que nul ne peut retenir
Passe lentement et pleure
La chanson du souvenir.
Et quand sa course l’emporte
Plus loin que ne vont nos yeux,
Plus d’une voix longtemps morte
Murmure encor des adieux.
Ainsi chaque...
Et quand sa course l’emporte Ainsi chaque... |
Pourvu qu’ils aient charmé, ne fût-ce qu’un moment, |
L’impérissable orgueil de mon cœur vient de celle Car j’ai souffert des maux qu’elle n’espérait pas. |
Les Titans sont tombés : — dans l’air silencieux La terre, maternelle aux cœurs audacieux, |
L’outil dur des graveurs dans la main inspirée, |