• Voix solitaire, ô délaissée !
    Victime tant de fois blessée,
    Chère morte dont l'âme eut faim
    Et soif d'azur, ô Marceline,
    Dors-tu, sous la froide colline ?
    As-tu trouvé le calme, enfin ?

    Quand, parmi la lente agonie,
    La douleur, qui fut ton génie,
    T'arrachait de tremblants aveux,
    Le souffle du maître farouche
    En passant déliait ta...