I’ay esté par vn long temps
Deceue de l’esperance :
Et si encor point n’attens
D’elle plus grand’asseurance,
Que celle là, que ma foy
Me peult promettre de soy.
Ie voy les vns fort contents,
Les autres pleins de souffrance :
De ceulx là les rys i’entens,
De ceulx cy la douleance :
Ces passions i’apperçoy
Regner toutes deux en...