Enfin c’est toi ! Laisse-moi rester dans tes bras ;
Puis tu m’objurgueras tant que tu le voudras ;
Mais laisse-moi pleurer dans ton giron, que sais-je ?
Sur les pieds, vers tes yeux ou mon remords s’allège ;
Mou remords véritable, ou ma honte plutôt,
Ma honte...
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L’ennui de vivre avec les gens et dans les choses Mais d’avoir conscience et souci dans tel cas Alors mon discours chante et mes yeux de sourire |
Le soleil, moins ardent, luit clair au ciel moins dense. La Nature a quitté pour cette fois son trône |
Car mon cœur, jamais fatigué Mais, mieux que de chercher fortune |
Et maintenant, aux Fesses ! Mais avant la cantate |
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FANTOCHES Scaramouche et Pulcinella, Cependant l’excellent docteur Lors sa fille, piquant minois,... |
Fifi s’est réveillé. Dès l’aube tu m’as dit |
Bonne simple fille des rues Qui nous encombrent le trottoir Poseuses et bêtes poupées Ou de courses et de paris |
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