• Toi qu'empourprait l'âtre d'hiver
    Comme une rouge nue
    Où déjà te dessinait nue
    L'arôme de ta chair ;

    Ni vous, dont l'image ancienne
    Captive encor mon coeur,
    Ile voilée, ombres en fleurs,
    Nuit océanienne ;

    Non plus ton parfum, violier
    Sous la main qui t'arrose,
    Ne valent la brûlante rose
    Que midi fait plier.