• Tu te verras ton ivoire crêper
    Par l'outrageuse et tardive vieillesse.
    Lors sans pouvoir en rien participer
    D'aucune joie et humaine liesse,
    Je n'aurai eu de ta verte jeunesse,
    Que la pitié n'a su à soi ployer
    Ni du travail qu'on m'a vu employer
    A soutenir mes peines éphémères
    Comme Apollon, pour mériter loyer,
    Sinon rameaux et feuilles...