Je vivais au milieu de choses mal unies, 
Demandant au hasard de diriger mes pas. 
Je mettais à mon dieu le masque des folies 
Et le meilleur ami ne me connaissait pas.
Il s'est fait un été plus divin que les autres, 
Comment résisterais-je à son embrassement ? 
Je marche, confondant mes biens avec les vôtres ; 
Je respire au milieu d'un monde bien...