• Bel arbre au tronc penché, noirs et noueux rameaux,
    Feuillage pâlissant, tige à la baie amère,
    De qui retient son nom la hauteur solitaire
    Où Jésus dans la nuit vint pleurer sur nos maux ;

    Pathétique olivier, au seuil des temps nouveaux,
    Toi qui vis, s’effrayant de son calice austère,
    L’Homme-Dieu défaillir et supplier son Père
    Pour sa chair qui...