Courbé sur son pen-baz de chêne,
Le vagabond par les chemins,
Sent sa noire besace pleine
De cauchemars et de chagrins.
Il a si peur de la police
Qu’il en tremble, le malheureux.
Il faut pour l’ordre qu’on sévisse…
Allons, décampez, vous, les gueux !
Dans les villages, c’est à peine
S’il chine un dur croûton de pain.
Un coup d’eau...