• J'ai croisé sur la route où je vais dans la vie
    La Mort qui cheminait avec la Volupté,
    L'une pour arme ayant sa faux inassouvie,
    L'autre, sa nudité.

    Voyageur qui se traîne, ivre de lassitude,
    Cherchant en vain des yeux une borne où s'asseoir,
    Je me trouvais alors dans une solitude
    Aux approches du soir.

    Tout à coup, comme à l'heure où...