Ta robe, ô hareng, c'est la palette des soleils couchants,
la patine du vieux cuivre, le ton d'or bruni des cuirs de
Cordoue, les teintes de santal et de safran des feuillages
d'automne !
Ta tête, ô hareng, flamboie comme un casque d'or, et l'on
dirait de tes yeux des clous noirs plantés dans des cercles
de cuivre !
Toutes les nuances tristes...