À Georges Lafenestre.
LE POÈTE.
Voici venir l’automne, hirondelle frileuse.
Bientôt s’effeuilleront mes rosiers défleuris.
Un ciel brumeux et noir s’étendra sur Paris,
Et tu me quitteras, petite voyageuse.
Hirondelle, où vas-tu quand tu me...
LE POÈTE. Voici venir l’automne, hirondelle frileuse. Hirondelle, où vas-tu quand tu me... |
Nous prendrons, si tu veux, ce petit chemin jaune |
I Quand pour elle a sonné le glas de la trentaine ; Un froid analyseur pourrait-il définir... |
I Il était autrefois de hardis écumeurs |
L’enfant blond d’autrefois est un homme aujourd’hui. |
On n’entend qu’un oiseau, travailleur attardé, |
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LE MARIN Étoile du marin, si haute dans les cieux, Là, de sa voix d’argent,... |
Le prêtre avait béni l’enfant qu’on enterrait… — Depuis dix ans les sœurs ne s’étaient rencontrées |
Non loin de Notre-Dame, un soir du moyen âge, L’hôtelier hur jeta son méfiant... |