•  
    LES NAGEURS.

    Ô filles de la mer, loin des bords égarées,
    Quand les flots s’empourpraient aux lueurs du couchant,
    Nous avons entendu votre merveilleux chant
    Épanouir en chœur ses voix énamourées.

    Mais nous sommes en vain de robustes nageurs ;
    Nous fatiguons nos bras sans pouvoir vous atteindre,
    Et voici bientôt l’heure où le jour va s’éteindre...