À Ernest Christophe.

Les braves dorment bien dans cette immense plains.
Pas de saules pleureurs, pas de mornes cyprès...
Ce n’est qu’un terrain vague où vient la.marjolaine,
La bruyère et l’ajonc. — Mais là, cent ans après,
Filant à pas songeurs leur...

À Léo Joubert.

Là-bas, vers l'horizon du frais pays herbeux
Où la rivière, lente et comme désoeuvrée,
Laisse boire à son gué de longs troupeaux de boeufs,
Une grande bataille autrefois fut livrée.

C'était, comme aujourd'hui, par un ciel de printemps.
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