Pour Pierre de Bouchaud.
Sur quelles mers, sous quels caps de l’infini sombre,
La flotte des soleils, aux pavois bardés d’or,
Eteindra-t-elle enfin ses feux, sanglants encor
Des suprêmes combats livrés aux Dieux de l’ombre ?
Combien d’humanités, nombrant par millions
Leurs âmes, lasses et lourdes de...