L’aurore a la pâleur verdâtre d’une morte,
Elle semble une frêle et tremblante Alkestis
Qui, les pas vacillants, vient frapper à la porte
Où l’amour l’...

 
        Le jour ne perce plus de flèches arrogantes
        Les bois émerveillés de la beauté des nuits,
        Et c’est l’heure troublée où dansent les Bacchantes
        Parmi l’accablement des rythmes alanguis.

        Leurs cheveux emmêlés pleurent le sang...

J’aime la boue humide et triste où se reflète
Le merveilleux frisson des astres, où le soir
Revient se contempler ainsi qu’en un miroir
Qui découvre à...

Le jour ne perce plus de flèches arrogantes
Les bois émerveillés de la beauté des nuits,
Et c'est l'heure troublée où dansent les Bacchantes
Parmi l'accablement des rythmes alanguis.

Leurs cheveux emmêlés pleurent le sang des vignes,
Leurs pieds vifs sont...