SI vous êtes de cette race
Qui, s’indignant de voir le mal,
Des gens affamés s’embarrasse
Et craint de battre un animal,
De cette race ridicule
Qui ne veut aimer que le beau,
Et, loin du monde qui calcule,
Prend le rêve pour son flambeau ;
Si vous n’adorez point la force,
Si la pensée est votre Dieu,
Si vous vous prenez à l’amorce...