Poem Lake | Page 9 | The Greatest Poems of All Time

Les Éolides Ô brises flottantes des cieux, Du beau Printemps douces haleines, Qui de baisers capricieux Caressez les monts et les plaines ! Vierges, filles d’Éole... Poet: Leconte de Lisle	Les Éolides Ô brises flottantes des cieux, Du beau printemps douces haleines, Qui de baisers capricieux Caressez les monts et les plaines ! Vierges, filles d’Éole, amantes de la paix, La nature éternelle à vos chansons s’éveille ; Et la dryade assise aux feuillages... Poet: Leconte de Lisle	L’Épée d’Angantyr ... Poet: Leconte de Lisle	Épiphanie Elle passe, tranquille, en un rêve divin, Sur le bord du plus frais de tes lacs, ô Norvège ! Le sang rose et subtil qui dore son col fin Est doux comme... Poet: Leconte de Lisle
Les Épis Comme autrefois Jésus, que l'archange accompagne Au sommet lumineux de la sainte montagne, Et qui, pâle, entrevoit de ses yeux effrayés La terre immense et sombre étendue à ses piés ; Pareil au sable vil qui monte de l'arène Jusques aux pics neigeux où l'... Poet: Leconte de Lisle	Les Érinnyes - I Ô chers vieillards, depuis dix très longues années, Ils sont partis, les Rois des nefs éperonnées, Entraînant sur la mer tempétueuse, hélas ! Les hommes chevelus de l’héroïque Hellas, Qui, tels qu’un vol d’oiseaux carnassiers dans l’aurore, De cent mille avirons... Poet: Leconte de Lisle	Les Érinnyes - II Femmes, sur ce tombeau cher aux peuples Hellènes, Posons ces tristes fleurs auprès des coupes pleines. L’offrande funéraire est douce à qui n’est plus. Il convient, selon l’ordre et le rite voulus, Que l’illustre Élektra, la tempe deux fois ceinte, Verse au mort... Poet: Leconte de Lisle	Les Étoiles mortelles Un soir d’été, dans l’air harmonieux et doux, Dorait les épaisses ramures ; Et vous alliez, les doigts rougis du sang des mûres, Le... Poet: Leconte de Lisle
Études latines La jeunesse nous quitte et les Grâces aussi ; Les désirs amoureux s’envolent après elles, Et le sommeil facile. À quoi bon le souci Des... Poet: Leconte de Lisle	Études latines La Jeunesse nous quitte et les Grâces aussi ; Les désirs amoureux s’envolent après elles, Et le sommeil facile. À quoi bon le souci Des espérances éternelles ? L’aile du vieux Saturne emporte nos beaux jours, Et la fleur inclinée au vent du soir se fane... Poet: Leconte de Lisle

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