À ERNEST HÉBERT
Au fond du parc, dans une ombre indécise,
Il est un banc, solitaire et moussu,
Où l’on croit voir la Rêverie assise,
Triste et songeant à quelque amour déçu.
Le Souvenir dans les arbres murmure,
Se racontant les bonheurs...
À ERNEST HÉBERT
Au fond du parc, dans une ombre indécise, |
Au fond du parc, dans une ombre indécise, |
Par une rue étroite, au cœur du vieux Paris, |