À Jules Christophe.
L’homme, en manches de veste et, sous son chapeau noir,
A cause du soleil, ayant mis son mouchoir,
Tire gaillardement la petite voiture,
Pour faire prendre l’air à sa progéniture,
Deux bébés, l’un qui dort, l...
À Jules Christophe. L’homme, en manches de veste et, sous son chapeau noir, |
Assis dans mon wagon, la cigarette aux lèvres, |
Le train stoppa ; c’était la station de Sèvres. Assis dans mon wagon, la cigarette aux lèvres, |
J'adore la banlieue avec ses champs en friche |