• Le marchand de cercueils vient de trousser ses manches
    Et rabote en sifflant, les pieds dans les copeaux.
    L’année est bonne ; il n’a pas le moindre repos
    Et même il ne boit plus son gain tous les dimanches.

    Tout en jouant parmi les longues bières blanches,
    Ses enfants, deux blondins tout roses et dispos,
    Quand passe un corbillard, lui tirent leurs chapeaux...