I
Ce siècle froid et sérieux
Ne croit plus aux folles chimères ;
Ils sont passés les temps joyeux
Dont nous ont parlé nos grand’mères !
Quand l’amour sensible et bien né,
Secouant des branches fleuries,
Souriait, tout enrubanné,
Dans la fraîcheur des bergeries,
Et, le soir, sous les marronniers,
Pressait la belle qui menace,...