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    Quand la mer eut donné ses perles à ma bouche,
    Son insondable azur à mon regard charmant,
    Elle m’a déposée, en laissant à ma couche
    Sa fraîcheur éternelle et son balancement.

    Je viens apprendre à tous que nul n’est solitaire,
    Qu’Iris naît de l’orage et le souris des pleurs ;
    L’horizon gris s’épure, et sur toute la terre
    L’Érèbe encor brûlant s...