• Loin des vitres ! clairs yeux dont je bois les liqueurs,
    Et ne vous souillez pas à contempler les plèbes.
    Des gels norvégiens métallisent les glèbes,
    Que le froid des hivers nous réchauffe les coeurs !

    Tels des guerriers pleurant les ruines de Thèbes,
    Ma mie, ainsi toujours courtisons nos rancoeurs,
    Et, dédaignant la vie aux chants sophistiqueurs,
    ...