L’été n’a pas été tenable.
Il fit une chaleur du diable.
— C’est imprimé, ça me suffit.
Car moi, j’ai joui, dans ma cave,
Tout l’été, d’un froid scandinave,
Ce qui fut pour moi tout profit.
Pendant des mois...
L’été n’a pas été tenable. Pendant des mois... |
J’étais comme en plein sommeil Si veule et si misérable Eût pris mon sort en pitié, |
Alerte ! alerte ! Le gai Printemps Son pied de rose Un doux mystère |
Jean de Gonfaron, pris par des corsaires, |
Ô vin splendide et salutaire, Vin rieur qui ris dans les verres |
Si tu n’es pas un vil esclave, Et puis tu nous épargneras |
Il paraît que c’est le roi Édouard. Je lisais, l’autre jour, un journal visigoth, |
Un mien ami, natif de Cette, Comme c’est à coup sûr le sage |
Une très fine statuette Elle séduit tôt par sa mise |
Je ne me suis amusé guère C’est fort possible. Quant à elle, |