L'oeil est dans un château que ceignent les frontières
De ce petit vallon clos de deux boulevards,
Il a pour pont-levis les mouvantes paupières,
Le cil pour garde-corps, les sourcils pour remparts.
Il comprend trois humeurs, l'aqueuse, la vitrée,
Et celle de...
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Beaux yeux que j'aime tant, hé quelle est votre essence, |
Les rayons du soleil se dardent sur l'enflure |
Je touche de mon pied le bord de l'autre monde, |
Je suis dans le penchant de mon âge de glace. |
Je donne à mon desert les restes de ma vie, |
Adieu Paris, adieu pour la derniere fois ! |
C'est grand dommage que ma Chate |
Ce que ta plume produit |
Déserts où j'ai vécu dans un calme si doux, |