Quand viendra l'heureux temps que je sacrifiré
Mon corps sur votre autel que saint Désir dédie,
Que j'épandrai mon sang en mémoire infinie
D'avoir par une erreur si longtemps soupiré ?
Quand viendra l'heureux jour que je vous offriré
Un bénit cierge ardent avec...
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Que ne suis-je échangé en précieuse pluie, |
Ton voile noir te fait approuver feinte, |
Sur ses ailes, Amour, d'un vol plein de vitesse, |
Je penserai plutôt la mer non variable, |
J'aime tant ce parler bégayement mignard |
Si les pleurs douloureux, si les tristes complaintes, |
Ô belle Noémie, approche, embrasse-moi, |
Pourquoi négliges-tu l'extrême affection |
Ton poil, ton oeil, ta main, crêpé, astré, polie, |