Ô berger, ne suis pas dans cet âpre ravin
Les bonds capricieux de ce bouc indocile ;
Aux pentes du Ménale, ou l'été nous exile,
La nuit monte trop vite et ton espoir est vain.

Restons ici, veux-tu ? J'ai des figues, du vin.
Nous attendrons le jour en ce sauvage...