Des ombres de la nuit la campagne est voilée.
Nul astre aux cieux. Le vent d’automne dans les bois
Passe, souffle & murmure, & remplit la vallée
De sifflements pareils à de lugubre voix.
Malheur au vagabond qui, malade & sans gîte,
Par ce tempe lamentable erre loin des hameaux !
Malheur au sein pensif où la douleur s’agite,
Et qui veille...