• Désespéré, chétif, du repos de ma vie,
    Je chemine à grands pas au sentier douloureux
    De l'Orque épouvantable, où le sort rigoureux
    Avait dès le berceau ma jeunesse asservie.

    Là l'horreur de la nuit sombrement obscurcie,
    Et l'effroi pâlissant de l'Achéron ombreux,
    Avec tous les tourments des Enfers ténébreux,
    Puissent combler mon chef d'indomptable...