En la grand’chambre ancienne aux rideaux de guipure
Où la moire est flétrie et le brocart fané,
Parmi le mobilier de deuil où je suis né
Et dont se scelle en moi l’ombre nacrée et pure ;
Avec l’obsession d’un sanglot étouffant,
Combien ma souvenance eut d’amertume...