Ses jupons troussés court comme sa devantière,
Sous ses gros bas bleus bien tirés
Laissant voir ses mollets cambrés...
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Le petit feu follet qui danse devant moi, Rebrousser chemin ? non ! me défier ? pourquoi ? |
La belle fille blanche et rousse, « Moi cont’ laquell’ sont à médire |
Dans le champ planté de colzas, Longtemps avec moi tu causas, |
Suspendez-vous dans les vergers, |
Entendez hurler les manchots Aussi la... |
Jamais la mousse de savon |
Là, c’est un cerf blessé qui râle… |
C’est le grand silence des nuits |
Le fossoyeur-bedeau En soufflant ses grands cierges Enfin, on s’achemine |