Lorsque je serai mort, toi qui as des yeux bleus
couleur de ces petits coléoptères bleu de feu
des eaux, petite jeune fille que j’ai bien aimée
et qui as l’air d’un iris dans les fleurs animées,
tu viendras me prendre doucement par la main.
Tu me mèneras sur...
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LORSQUE je serai mort, ― puisqu’il nous faut mourir, ― |
Peut-être serai-je plus gaie |
Filliou*, quand je serai guérie, |