Voilà ce que me dit en reniflant sa prise
Le bon vieux laboureur, guêtré de toile grise,
Assis sur un des bras de sa charrue, ayant
Le visage en regard du soleil rougeoyant :
« Ces pauv’ bêt’ d’animaux n’comprenn’ pas q’la parole.
T’nez ! j’avais deux bœufs noirs !… Pour labourer un champ ?
C’était pas d’leur causer ; non ! leur fallait du chant...