NOUS nous disions : quand le printemps
Ramènera dans son haleine
La splendeur des lys éclatants
Et l’allégresse de la plaine.
O printemps qui ne reviens pas !
Quand du bout d’azur de ton aile
Tu réveilleras sur nos pas
L’âme des choses...
O printemps qui ne reviens pas ! |
Grands bois debout dans l’ombre où naissent les mystères, |