Maurice Amoreau

  • Affrontant d’un cœur fier la bataille mortelle,
    Le beau page est tombé sous les bois jaunissants ;
    Maintenant, au château, dans le grand lit, son sang
    Fait une étoile rouge aux blancheurs des dentelles.

    L’ombre ternit l’azur éteint de ses prunelles.
    Dans un dernier...

  • Hélas ! qu’êtes-vous devenues,
    Têtes chères que j’ai connues ?…
    Mon Dieu ! Vous m’avez tant charmé !
    Jamais neJ’ai tant aimé !

    Ils sont partis pendant l’orage,
    Un jour que...