Émile Van Arenbergh

  • Sur ta haute colonne, ô Poète stylite,
    Tu t’es enseveli, tout vivant dans le ciel :
    ― Sous toi, comme une mer, la Vie en vain s’agite,
    Jetant d’un pôle à l’autre un sanglot éternel.

    Au seuil de l’Infini tu te dresses dans l’ombre,
    Interrogeant l’abîme où le temps...