Sieh in dem zarten Kind zwey liebliche Blumen vereinigt,
Jungfrau und Jüngling, sie deckt beyde die Knospe noch zu.
Leise löst sich das Band, es entzweyen sich zart die Naturen,
Und von der holden Schaam trennet sich feurig die Kraft.
Gönne dem Knaben zu spielen, in wilder Begierde zu toben,
Nur die gesättigte Kraft kehret zur Anmuth zurück.
Aus der Knospe beginnt die doppelte Blume zu streben,
Köstlich ist jede, doch stillt keine dein sehnendes Herz.
Die Geschlechter
More from Poet
-
Ô Joie, belle étincelle divine,
Fille de l’Elysée,
Nous entrons ivres d’enthousiasme,
Ô Déesse, dans ton sanctuaire.
Tes charmes réunissent
Ce que la mode sépare ;
Tous les hommes deviennent frères
Là où tes douces ailes reposent.Chœur
...
-
Un jeune homme, que la soif ardente de savoir
Poussa à Saïs en Egypte,
Pour apprendre la sagesse secrète des prêtres, avait
Déjà franchi maint degré, grâce à la promptitude de son esprit ;
Toujours son désir de connaître l’entraînait plus loin,
Et le hiérophante... -
Devant son parc aux lions
Attendant le spectacle d’un combat
Etait assis le roi François,
Autour de lui les grands de la couronne,
Et, en cercle, sur une haute galerie,
La belle guirlande des dames.Et sur un geste de sa main,
Une porte de la vaste... -
Voler, tuer, se battre, forniquer,
Voilà ce qui s'appelle passer son temps !
Demain nous serons pendus au gibet,
Amusons-nous donc aujourd'hui.Nous menons une vie libre,
Une vie de délices.
La forêt est notre quartier nocturne,
Sous le vent et l'orage... -
Debout sur la terrasse de son palais,
Il promenait avec satisfaction ses regards
Sur Samos soumise à ses lois.
« Tout cela m’appartient, »
Dit-il au roi d’Egypte,
« Avoue que je suis heureux ! » —« Tu as éprouvé la faveur des dieux !
Ceux qui jadis...