Des bronzes, des cristaux, et des senteurs d'Asie !...
Dans une existence choisie
Se plaît cet esprit délicat ;
Il faut plus qu'à toute autre femme
Des parfums subtils pour son âme
Et subtils pour son odorat.
Pourtant on a cueilli, loin des eaux de la Seine,
Cette humble tige de verveine
Destinée à ses cheveux bruns,
Afin qu'on respire autour d'elle,
Mêlée aux plus riches parfums,
Cette odeur fraîche et naturelle.