- J'observe le repos du dimanche
- Et je loue la paresse
- Comment comment réduire
- L'infiniment petite science
- Que m'imposent mes sens
- L'un est pareil aux montagnes au ciel
- Aux villes à mon amour
- Il ressemble aux saisons
- Il vit décapité sa tête est le soleil
- Et la lune son cou tranché
- Je voudrais éprouver une ardeur infinie
- Monstre de mon ouïe tu rugis et tu pleures
- Le tonnerre te sert de chevelure
- Et tes griffes répètent le chant des oiseaux
- Le toucher monstrueux m'a pénétré m'empoisonne
- Mes yeux nagent loin de moi
- Et les astres intacts sont mes maîtres sans épreuve
- La bête des fumées a la tête fleurie
- Et le monstre le plus beau
- Ayant la saveur du laurier se désole
J’observe le repos du dimanche
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Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu’il m’en souvienne
La joie venait toujours après la peineVienne la nuit sonne l’heure
Les jours s’en vont je demeureLes mains dans les mains restons face...
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André Derainnek Ott hová belibbenni láttam A nőt akinek két egész Órán át jártam a nyomában Amszterdamban megálltam és Sokáig csókot integettem De a csatorna elhagyott Volt és a part is senki nem Látta hogy talált rá a csók Arra akinek életem Áldoztam két órára egy nap Magamban Virágnak...
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Voie lactée ô sœur lumineuse
Des blancs ruisseaux de Chanaan
Et des corps blancs des amoureuses
Nageurs morts suivrons-nous d'ahan
Ton cours vers d'autres nébuleusesLes démons du hasard selon
Le chant du firmament nous mènent
A sons... -
Zénith
Tous ces regrets
Ces jardins sans limite
Où le... -
- Templiers flamboyants je brûle parmi vous
- Prophétisons ensemble ô grand maître je suis
- Le désirable feu qui pour vous se dévoue
- Et la girande tourne ô belle ô belle nuit
- Liens déliés par une libre flamme Ardeur ...