• Dans le parc vaporeux où l'heure s'énamoure,
    Les robes de satin et les sveltes manteaux
    Se mêlent, reflétés au ciel calme des eaux,
    Et c'est la fin d'un soir infini qu'on savoure.

    Les éventails sont clos ; dans l'air silencieux
    Un andante suave agonise en sourdine,
    Et, comme l'eau qui tombe en la vasque voisine,
    L'amour tombe dans l'âme et déborde...