I
Il est par les faubourgs un ramas de maisons
Dont les murs verts ont l’air de suer des poisons,
Et dont les pieds baignés d’eau croupie et de boue
Passent en puanteur l’odeur de la gadoue.
Rien n’est plus triste à voir, dans ce vilain Paris,
Entre le ciel tout jaune et le pavé tout gris,
Que ne sont ces maisons...