Oh ! les anciens matins de bonheur infini,
De joie inexplicable ! Oh ! les matins tout roses
Où l’on ouvrait son âme à des bonheurs sans causes
Comme à des oiseaux fous qui se trompent de nid.
Oh ! les matins pieux dans le mois de Marie !
On imaginait voir, au loin se prolongeant,
Des floraisons d’azur et des ruisseaux d’argent
Faisant de l’...