• Tes bras — O le poison qu’en vain tu dissimules !
    M’enserrent froidement, comme des tentacules.

    Viens, nous pénétrerons le secret du flot clair,
    Et je t’adorerai, comme Un Noyé la mer,

    Les crabes dont la faim se repaît de chair morte
    Nous...

  • L'homme a, pour payer sa rançon,
    Deux champs au tuf profond et riche,
    Qu'il faut qu'il remue et défriche
    Avec le fer de la raison ;

    Pour obtenir la moindre rose,
    Pour extorquer quelques épis,
    Des pleurs salés de son front gris
    Sans cesse il faut qu'il les arrose.

    L'un est l'Art, et l'autre l'Amour.
    - Pour rendre le juge propice,
    ...